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Sharks, punch and the eternal battle with jet lag
🪸 I have made a stunning discovery: I love sleeping under a “moustiquaire.” Not just because it saves me from becoming a human buffet for mosquitoes (which, believe me, is a vital function here), but because it turns my bed into a snug little cocoon of safety. I’ve always liked tight sleeping spaces — airplane lie-flat seats, sailing boat cabins, tents — and it turns out a mosquito net delivers the same cozy satisfaction… plus the added thrill of not getting dengue fever. Win-win.
🪸 However, romance with the moustiquaire aside, jet lag decided to party hard last night. I woke up at the charming hour of 3 a.m., read every scrap of European news (spoiler alert: still chaotic), and tried to go back to sleep around 5. My body generously allowed me another two hours before today’s big plan: a morning of boating and snorkeling. Meeting time: 8 a.m. Location: mercifully, just seven minutes away.
🪸 My trusty new waterproof bag is packed with Very Important Stuff™️ (snorkel gear, sunscreen, emergency chocolate), and I’m sipping a cup of tea, pretending to be an alert and functional adult. The weather forecast optimistically promises “probably less rain than yesterday” — which is like a weatherperson saying, “you may get wet, but hey, character-building!” Temperatures should hover around 28°C but feel like 41°C if the sun comes out, making “underwater” the best place to be.
🪸 At 8 a.m. sharp, we meet Alex, our guide, and two other adventurers. We hop on the boat, and off we go into Moorea’s legendary lagoon. Minutes later, I’m floating among blacktip sharks and stingrays, which sounds terrifying but is actually magical — provided you don’t think too hard about the food chain.
🪸 Back in the boat, we spot a pod of dolphins just casually hanging out, because apparently they like to play here during the day after their nightly hunting expeditions. Dolphins playing, sharks gliding, rays soaring — it’s basically Moana in 4K.
🪸 Next stop: the coral garden. We leap into the water like less-graceful penguins and form a human snake, wiggling through the dazzling coral reefs. The colours, the fish — it’s like swimming inside a living, breathing, kaleidoscope. This, right here, is why we came back to Polynesia: pure, heart-bursting joy.
🪸 Before we can turn into human prunes, it’s time for “apéritif,” Polynesian-style. We head to a tiny motu with powdery white sand and bathtub-warm, crystal-clear water.
Out comes the homemade punch — best served standing in thigh-high ocean while being casually circled by curious manta rays. They kept a polite distance, because even manta rays respect cocktail hour.
🪸 Sadly, noon arrived and with it, reality: time to head back. We steered ourselves toward Les Tipaniers for lunch (because why break a good habit?), and I bravely ordered another Mai Tai in the name of jet lag science.
🪸 Did it work? Nope. Despite a full belly, a morning of snorkeling, a decent punch buzz, and a double dose of jet lag, I still couldn’t nap when we got back. Apparently, my body is locked in a vicious 48-hour loop of “Sleep is for mortals.”
🪸 Thus, here I am again, typing away to the soothing soundtrack of distant waves and birds that sound vaguely like malfunctioning smoke detectors.
🪸 Nothing much planned for the rest of the afternoon — just a dinner reservation tonight, and another adventure day tomorrow. This time, we’ll be swapping flippers for hiking boots. What could possibly go wrong?
Requins, punch et jet lag en mode hardcore
🪸 Grande révélation de ce voyage : j’adore dormir sous une moustiquaire. Non seulement ça m’évite de devenir un buffet à moustiques (ce qui, ici, est une question de survie élémentaire), mais en plus, j’ai l’impression de dormir dans un cocon douillet. Vous savez déjà que j’aime les petits espaces — sièges d’avion en mode lit, cabines de bateau, tentes — eh bien la moustiquaire coche toutes les cases. En bonus : zéro paludisme en cadeau souvenir.
🪸 Ceci dit, la nuit n’a pas été aussi romantique qu’escompté. Merci le jet lag, qui m’a réveillé frais comme un gardon à 3h du matin. Après avoir compulsé toutes les nouvelles d’Europe (spoiler : c’est toujours n’importe quoi), j’ai tenté de me rendormir vers 5h. Deux heures de sommeil plus tard, c’était l’heure de l’expédition du jour : matinée bateau et snorkeling. Rendez-vous : 8h. Lieu : à seulement 7 minutes en voiture. Merci, petits dieux du timing.
🪸 Mon nouveau sac étanche est prêt, bourré de trucs essentiels™️ (masque, tuba, crème solaire, chocolat d’urgence), et je bois un thé en essayant de ressembler à un être humain fonctionnel. La météo, elle, fait du stand-up : “moins de pluie qu’hier”, en langage local, ça veut dire “tu vas peut-être juste finir trempé une fois au lieu de trois”. Température annoncée : 28°C, ressentie 41°C si le soleil fait son show. Bref, l’océan semble être une décision de survie.
🪸 À 8h tapantes, on rencontre Alex, notre guide, et deux autres aventuriers. On grimpe dans le bateau et c’est parti pour 4 heures de magie en lagon. Au bout de cinq minutes, hop, dans l’eau : des requins pointe noire partout autour de nous, et quelques raies pastenagues qui viennent nous zieuter tranquillou. Oui, tout ça en entrée de jeu.
🪸 Retour dans le bateau, on navigue un peu, et là — jackpot — un banc de dauphins ! Ces petits malins chassent la nuit hors du lagon, et reviennent ici pour buller et jouer la journée. Autant dire que nous, on frôle l’évanouissement de bonheur.
🪸 Pas le temps de se remettre, direction les jardins de corail. On saute à l’eau les uns après les autres (plus style otarie que dauphin, mais bon), et on forme une sorte de long serpent humain glissant à travers les coraux multicolores. Un vrai festival de formes et de poissons dignes d’un défilé haute couture sous-marin. C’est précisément pour ça qu’on est revenus en Polynésie : pour replonger dans cette féerie vivante.
🪸 Ensuite, pause “apéritif” digne de ce nom : direction un petit motu avec sable blanc éclatant et eau translucide chauffée à 30 degrés.

Punch maison servi direct dans l’eau jusqu’aux cuisses, pendant que des raies manta dansent tout autour de nous (à distance polie, parce que même elles respectent l’heure du cocktail).
🪸 Midi sonne, et il faut rentrer. Snif. Consolation immédiate : déjeuner aux Tipaniers, encore une fois (on ne change pas une équipe qui gagne). J’ai courageusement sacrifié un deuxième Mai Tai sur l’autel du jet lag. Verdict ?
🪸 Raté. Malgré le combo snorkeling + punch + digestion, impossible de faire la sieste. Mon cerveau est resté coincé sur fuseau horaire “ne jamais dormir”. Résultat : je tape frénétiquement sur mon clavier, bercé par les vagues et le cri des oiseaux locaux (qui, je vous le jure, sonnent comme des alarmes de fumée défectueuses).
🪸 Pas de programme particulier pour cet après-midi. Ce soir, petit dîner réservé. Et demain… nouvelle journée d’aventure, mais cette fois sur la terre ferme. Spoiler : ça risque d’être tout aussi folklorique.
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