🇬🇧
Loches and loaded
The art of sauntering
with style and sore backs
A good night’s sleep — I blame it entirely on the whisky. It seems to have excellent restorative powers, at least in moderation (or close enough).
After breakfast in the main gîte, our merry band of travellers headed to Loches, a charming little town that proudly claims “Loches, l’art de flâner.”
Translation: “The art of sauntering.”
By the end of the day, I could confidently add: “and the art of surviving it.”
It happened to be market day, which added a pleasant chaos to our wanderings. We parked wherever luck allowed, then made a strategic stop at the tourist office for maps — just in case the “art of flâner” got out of hand.
We then proceeded to explore Loches with dedication and questionable navigation. I’m fairly sure we walked the Grande Rue at least six times — up, down, sideways, possibly in circles. My back took detailed notes of every uneven stone.
We did manage to tick off the highlights:
🕍 The Dungeon, suitably medieval.
🏰 The Logis Royal, impressively regal.
⛪ The Collégiale St Ours, magnificently serene.
🚪 The Royal Gate, for our grand entrances and exits.





And, of course, another stroll along the Grande Rue, just to be sure we hadn’t missed a single shop window.
Lunch was a well-earned reward at Le P.R.E.T.Y. — and it was indeed pretty good. Refreshed, rehydrated, and reinvigorated (slightly), we stopped at a local wine shop on the way back to the gîte. Priorities firmly in order.
By 6 p.m., apéritif time was in full swing. Bottles opened, laughter flowed, and — rather alarmingly — someone produced grapefruit juice. This sparked an impromptu medical symposium on the dangers of mixing said juice with medication.
Given that most of us hover around the seventy-something mark, the conclusion was unanimous:
🚫 Ban grapefruit juice from all future gatherings!
Dinner followed — a practical affair of pre-prepared meals, made cheerful by good company and better wine. The evening highlight came courtesy of Christian, who unveiled a brilliant slideshow of photos from previous reunions — this time with witty speech bubbles added. Laughter echoed around the room; memories resurfaced; some hairstyles were best left forgotten.
A final whisky nightcap sealed the day nicely. As I headed to bed, pleasantly tired and slightly creaky, I thought: Loches may be the home of the art of flâner, but we’ve certainly turned it into a team sport.
Moral of the Day:
Whisky aids sleep. Walking aids pain. Grapefruit juice aids chaos.
🇫🇷
Loches et les douleurs
L’art de flâner
avec style et courbatures
Bonne nuit, sommeil réparateur — j’en rends le whisky entièrement responsable. Il semble avoir des vertus thérapeutiques insoupçonnées, du moins à petites doses (ou presque).
Après le petit-déjeuner dans le gîte principal, notre joyeuse troupe a pris la direction de Loches, charmante petite ville dont la devise affiche fièrement : « Loches, l’art de flâner. »
À la fin de la journée, j’aurais volontiers ajouté : « …et l’art de survivre à la flânerie. »
C’était jour de marché, ce qui ajoutait une belle animation à nos déambulations. Nous avons garé les voitures dès qu’une place libre se présentait — exploit en soi — puis nous sommes passés par l’office de tourisme pour récupérer des cartes, au cas où notre art de flâner tournerait à l’art de se perdre.
Ensuite, place à l’exploration en bonne et due forme. Je suis à peu près certain que nous avons parcouru la Grande Rue au moins six fois — en montée, en descente, en diagonale, et parfois en rond. Mon dos, lui, se souvient parfaitement de chaque pavé.
Nous avons tout de même réussi à cocher les incontournables :
🕍 Le Donjon, imposant à souhait.
🏰 Le Logis Royal, digne de son nom.
⛪ La Collégiale Saint-Ours, d’une sérénité remarquable.
🚪 La Porte Royale, pour nos entrées et sorties triomphales.
Et bien sûr, la Grande Rue, encore et encore, histoire d’être sûrs de n’avoir rien manqué.
Le déjeuner fut une halte bien méritée au restaurant Le P.R.E.T.Y. — et c’était effectivement pretty good. Rassasiés et revigorés, nous avons terminé la visite par un passage stratégique dans une cave locale, histoire de reconstituer les stocks pour le soir.
À 18h précises, l’heure de l’apéritif sonnait. Les bouteilles se sont ouvertes, les verres se sont remplis — vin, whisky et, de manière totalement inexplicable, jus de pamplemousse. Cette intrusion fruitée a déclenché une discussion médicale enflammée sur les dangers de ce breuvage pour les personnes sous traitement.
Compte tenu de notre moyenne d’âge (disons, autour de la soixantaine bien entamée), la conclusion s’est imposée d’elle-même :
🚫 Interdiction formelle du jus de pamplemousse lors de toute future réunion !
Le dîner, simple mais efficace, avait été préparé à l’avance. L’ambiance, elle, était à son comble grâce à Christian, qui avait concocté un diaporama de photos de nos précédentes retrouvailles — cette fois agrémenté de bulles de dialogue humoristiques. Résultat : fous rires garantis, souvenirs émus et quelques coiffures d’époque qu’on aurait préféré oublier.
Un dernier whisky pour la route (enfin, pour le lit), et je me suis glissé sous la couette, satisfait, un peu courbaturé mais le sourire aux lèvres.
Loches prône l’art de flâner — nous, nous en avons fait un sport d’endurance.
Morale du jour :
Le whisky favorise le sommeil. La marche favorise les douleurs. Le jus de pamplemousse favorise le chaos.

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